"Un article comme celui du New York Times pose en fait une double interrogation. La première, explicite, consiste à se demander si l’ensemble des sciences cognitives peut servir de socle à la critique littéraire contemporaine. L’autre, en filigrane, beaucoup plus importante, est de savoir si de cette collusion avec la biologie ou les neurosciences, la littérature peut sortir gagnante ou définitivement appauvrie. "